samedi 30 avril 2011
mercredi 27 avril 2011
Wedding of the siecle
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Tableau magique
Il aura fallu 80 heures de travail acharné à George Vlosich pour dessiner sur ce vieux télécran le portrait de Kate et William. Cet artiste, qui n'a pas choisi le support le moins exaspérant, s'est fait une spécialité des portraits de célébrités sur ardoise magique.
Publié le 23 avril 2011 par mariage-royal
dimanche 24 avril 2011
samedi 23 avril 2011
jeudi 14 avril 2011
Waswahili ni waswahili bwana !
Depuis plusieurs semaines, ils sont des dizaines de milliers de personnes à affluer dans le village de Samunge perché dans les collines du district de Ngorongoro dans le nord de la Tanzanie. Le but : boire une potion considérée comme miraculeuse concoctée par un ancien pasteur luthérien surnommé le Babu ("grand-père" en swahili). Celui-ci affirme qu'il peut guérir de toutes les maladies y compris le SIDA, à partir d'une racine d'arbre aux vertus diurétiques, tandis que le gouvernement semble dépassé par les événements.
A peine le soleil s'est-il levé que les moteurs des voitures se remettent à vrombir. La file d'attente s'étale sur plusieurs kilomètres. Des gens s'étirent sur leur siège, font quelques pas sur la route pour se dégourdir les jambes, après avoir passé la nuit à l'intérieur, à tenter tant bien que mal de trouver le sommeil. Ceux qui ont dormi dans des tentes commencent à préparer le thé sur leur réchaud à gaz. LeBabu doit commencer à 8 heures pétantes la distribution de son breuvage, mais avant cela, entouré de deux officiers de police, il entame un discours dans un micro relié à un porte-voix à piles, tenu par un jeune homme visiblement préoccupé d'éviter les larsen. Des centaines de personnes se rassemblent autour de lui pour l'écouter religieusement. Cet ancien pasteur luthérien demande au public :
- Savez vous de quoi guérit ma potion ?
Un homme lève la main : - ça guérit du cancer, du Sida, et de l'hypertension…
- Savez vous ce qu'il faut faire après avoir bu la potion si vous êtes atteints du Sida ?
- Euh oui, il faut arrêter de pratiquer le sexe ».
Cette réponse fait glousser tout le monde. Le Babu précise : « il faut surtout attendre 7 jours pour que la potion agisse, et ensuite aller à l'hôpital pour faire un examen et constater la guérison ». Après une prière, il rappelle à tout le monde qu'il n'a rien à voir avec un mchawi ("sorcier" en swahili) ou un mganga ("magicien"). « C'est Dieu qui m'a directement donné le pouvoir de guérir, c'est donc lui qu'il faut remercier ». Après ce préambule, il s'asseoit sur la chaise qui lui est dédiée, sous une ample bâche en plastique. Sur des plateaux sont disposés des dizaines de tasses reçues avec empressement par les passagers des voitures qui vont défiler jusqu'à la nuit tombée, ainsi que par les groupes de Maasai, qui eux sont venus à pied. Soudain, le bruit tonitruant d'un hélicoptère fait lever les têtes vers le ciel. L'engin atterrit en soulevant des nuages de poussière. Une jeune femme en sort. Tatu Madika a payé une somme astronomique pour faire venir sa sœur, malade du Sida, au visage émacié à Samunge. Son corps extrêmement maigre est posé sur une moto. Elle va être amenée en urgence devant le Babu. « Nous sommes allées dans tous les hôpitaux du pays, elle a pris plein de médicaments, rien n'a fonctionné, explique sa sœur Tatu. Quand on est malade, il faut tout tenter ».
« Comment savoir si cela soigne ou pas ? »
Alors que la potion coûte la modique somme de 500 shillings tanzaniens, soit environ 20
centimes d'euros, certains sont prêts à dépenser des milliers de dollars pour acheminer des patients jusqu'au village enclavé du Babu. La concoction boue dans des marmites. Des dizaines de volontaires aident le Babu à la préparer, et à la distribuer. Le mélange est fabriqué à partir de racines d'un arbre, connu pour ses vertus diurétiques. La semaine dernière, la file d'attente devant le village de Samunge, situé dans le district de Ngorongoro atteignait 60 kilomètres.
La potion ne peut être distribuée que par le Babu, sinon il n'y a pas de guérison.Stephanie BraquehaisFace à cet engouement d'une ampleur inégalée, le gouvernement tanzanien met surtout l'accent sur le déploiement de forces de sécurité, mais le pouvoir du Babu n'est pas une minute remis en question. « Si cela soigne ou pas, nous ne sommes pas arrivés à une telle conclusion, reconnaît Stephen Wasira, député et ministre d'état aux relations sociales, qui a fait le déplacement pour venir goûter au breuvage, mais nous ne sommes pas inquiets, puisque c'est celui qui le boit qui constate si cela réussit ou pas, demander au gouvernement de parler pour les personnes malades n'est pas facile, ils sont des milliers ici comment savoir s'ils sont guéris ».
La semaine dernière, la ministre de la Santé a tout de même réclamé une enquête sur la plante médicinale, soulignant que la frénésie autour du phénomène pouvait porter atteinte à la lutte contre le virus du Sida.
mercredi 13 avril 2011
lundi 11 avril 2011
Vive la France
Prénom «ridicule»: Johnny s'appelle enfin KarimLa Cour dappel de Pau a donné raison au jeune garçon qui n'en pouvait plus de son prénom...Ah que ouf! Le jeune Johnny Layre, qui devait son prénom à l'admiration de sa mère pour l'ex-idole des jeunes, a obtenu gain de cause, ce lundi, devant la Cour d'appel de Pau. La décision de justice a supprimé son premier prénom, qu'il jugeait «ridicule», au profit de son second, Karim.«Commencer une nouvelle vie»
«C'est une excellente nouvelle qui va permettre à M.Layre de commencer une nouvelle vie», s'est félicitée l'avocate du jeune homme dans Sud Ouest. Un soulagement d'autant plus grand qu'il intervient au terme de plus d'un an de procédure, alors que le tribunal de Pau l'avait débouté en première instance en mai 2010.
«J'en ai marre des moqueries, des "Ah que coucou!" quand j'arrive quelque part. J'en peux plus», expliquait Karim en mars dernier. Les attestations de ses proches, assurant que le jeune homme se faisait depuis l'adolescence systématiquement appeler par son second prénom, hérité de son père, ont convaincu la Cour d'appel.
vendredi 1 avril 2011
Proverbe
Un tronc d'arbre a beau séjourner dans le fleuve, il ne se transformera jamais en crocodile